fiche n° 229 : Marie-Lune de Douyé Yllya et Fleur.
Couverture :
Résumé :
Nom : Marie-Lune.
Passion : Le shopping. But ultime : choper le dernier sac Golce et Dabana en vente dans sa boutique favorite. Celui qui collera pile poil avec les bottes Padra qu'elle n'a pas encore achetées, mais dont elle espère qu'elles colleront pile poil avec son sac ! Il faut dire que les poches de Marie-Lune ne sont pas assez grandes pour tout l'argent que son industriel de père donne à sa fifille chérie ! Mais la vie de Marie-Lune n'en est pas pour autant facilitée, car toutes ses copines, elles aussi enfants gâtées rivalisent d'ardeur dans l'art d'être le nombril du monde...
Mon avis :
Après la polémique provoquée sur le bilan Mars/avril la chronique s'avérait nécessaire sur cette BD.
Commençons tout d'abord par le point fort de ce livre : son graphisme. C'est coloré, dynamique, c'est mode et très "kawai". C'est FILLE. Quelques bugs mais là dessus, on passe. L'idée de gaieté et d'energie est là, et il est vrai que Marie-Lune en dépense autant que de l'argent!
Mais là où cette bd pèche c'est par son scénario. Certes il y a des blagues bien pensées, des chutes bien amenées (la serviette de plage, le chien et même la chute finale) mais cela ne fait pas tout. Pire cela fait ressortir le reste : Marie-Lune est horripilante et souvent pas très drôle.
Cela aurait pu être une critique amusante et délurée d'une jeunesse dorée dépensant sans compter (ça fait beaucoup de "é") mais le contrepoint fourni par sa soeur est trop faible (et trop caricatural). Qui plus est il aurait fallu une Marie-Lune clairement insupportable pour rire aux éclats de ses futiles déboires mais là aussi l'auteur préserve son personnage (pourquoi de la fausse fourure par exemple?).
Dur se situer avec Marie-Lune. Tout est dans l'excès, trop sans doute.
4/10 : Au final avec Marie-Lune on rit peu et on s'énerve beaucoup. A force de second degré on ne le décele plus... Cette BD semble limité et très sincèrement nous ne saurions la conseiller. Nul doute qu'elle trouvera cependant un public, mais non, vraiment, nous n'avons pas accroché. Dommage.
Résumé :
Nom : Marie-Lune.
Passion : Le shopping. But ultime : choper le dernier sac Golce et Dabana en vente dans sa boutique favorite. Celui qui collera pile poil avec les bottes Padra qu'elle n'a pas encore achetées, mais dont elle espère qu'elles colleront pile poil avec son sac ! Il faut dire que les poches de Marie-Lune ne sont pas assez grandes pour tout l'argent que son industriel de père donne à sa fifille chérie ! Mais la vie de Marie-Lune n'en est pas pour autant facilitée, car toutes ses copines, elles aussi enfants gâtées rivalisent d'ardeur dans l'art d'être le nombril du monde...
Mon avis :
Après la polémique provoquée sur le bilan Mars/avril la chronique s'avérait nécessaire sur cette BD.
Commençons tout d'abord par le point fort de ce livre : son graphisme. C'est coloré, dynamique, c'est mode et très "kawai". C'est FILLE. Quelques bugs mais là dessus, on passe. L'idée de gaieté et d'energie est là, et il est vrai que Marie-Lune en dépense autant que de l'argent!
Mais là où cette bd pèche c'est par son scénario. Certes il y a des blagues bien pensées, des chutes bien amenées (la serviette de plage, le chien et même la chute finale) mais cela ne fait pas tout. Pire cela fait ressortir le reste : Marie-Lune est horripilante et souvent pas très drôle.
Cela aurait pu être une critique amusante et délurée d'une jeunesse dorée dépensant sans compter (ça fait beaucoup de "é") mais le contrepoint fourni par sa soeur est trop faible (et trop caricatural). Qui plus est il aurait fallu une Marie-Lune clairement insupportable pour rire aux éclats de ses futiles déboires mais là aussi l'auteur préserve son personnage (pourquoi de la fausse fourure par exemple?).
Dur se situer avec Marie-Lune. Tout est dans l'excès, trop sans doute.
4/10 : Au final avec Marie-Lune on rit peu et on s'énerve beaucoup. A force de second degré on ne le décele plus... Cette BD semble limité et très sincèrement nous ne saurions la conseiller. Nul doute qu'elle trouvera cependant un public, mais non, vraiment, nous n'avons pas accroché. Dommage.