Fiche n° 303 : Métamuta de Jérémie Labsolu
Couverture :
Résumé :
Métamuta revisite l’enfance d’Angelino, sa relation avec Luna, sa mère, etc…
Pas vraiment d’histoire, plutôt une série de scènes dans l’univers de Mutafukaz, qui donnent un éclairage sur de nombreux aspects d’Angelino.
Informations complémentaires :
http://www.critic.fr/detail_livre.php?livre=31293
Mon avis :
On connaîssait déjà Mutafukaz (pour ceux qui ne connaîssent pas, courez acheter les deux premiers tomes !) et son univers complètement décalé, tant au niveau des prouesses graphiques que du scénario, mêlant catcheurs et aliens, gangs porto-ricains et mafias chinoises…
Et bien dans ce nouvel opus qui est en fait un sorte de spin-off, Run donne les rênes à Jérémie Labsolu, artiste à l’univers graphique très éloigné de celui de Mutafukaz, mais ô combien intéressant !
Ici, point de couleur, point de trait précis et délicat, mais une sorte de fouillis maîtrisé qui, s’il interpelle, peut être assez déroutant voire rebuter complètement le lecteur. Personnellement, j’adore et je trouve que cela apporte, tant à la BD en elle-même qu’à la série Mutafukaz, une profondeur qui lui manquait peut-être, un aperçu de ce que peut faire un auteur talentueux avec un scénario toujours plus barré.
En bref, Métamuta, c’est une petite perle graphique à rajouter à une série qui étonne encore et toujours par sa diversité et sa qualité ! On aime ou on déteste, mais ça ne laisse certainement pas indifférent !
9/10 Des dessins encore plus hallucinants, un scénario encore plus barré, Métamuta ne renie en rien son héritage, et y rajoute une petite touche de folie. Le tout est très inspiré, complètement barré, et tout autant accrocheur que les autres productions de Run.
Etienne
Résumé :
Métamuta revisite l’enfance d’Angelino, sa relation avec Luna, sa mère, etc…
Pas vraiment d’histoire, plutôt une série de scènes dans l’univers de Mutafukaz, qui donnent un éclairage sur de nombreux aspects d’Angelino.
Informations complémentaires :
http://www.critic.fr/detail_livre.php?livre=31293
Mon avis :
On connaîssait déjà Mutafukaz (pour ceux qui ne connaîssent pas, courez acheter les deux premiers tomes !) et son univers complètement décalé, tant au niveau des prouesses graphiques que du scénario, mêlant catcheurs et aliens, gangs porto-ricains et mafias chinoises…
Et bien dans ce nouvel opus qui est en fait un sorte de spin-off, Run donne les rênes à Jérémie Labsolu, artiste à l’univers graphique très éloigné de celui de Mutafukaz, mais ô combien intéressant !
Ici, point de couleur, point de trait précis et délicat, mais une sorte de fouillis maîtrisé qui, s’il interpelle, peut être assez déroutant voire rebuter complètement le lecteur. Personnellement, j’adore et je trouve que cela apporte, tant à la BD en elle-même qu’à la série Mutafukaz, une profondeur qui lui manquait peut-être, un aperçu de ce que peut faire un auteur talentueux avec un scénario toujours plus barré.
En bref, Métamuta, c’est une petite perle graphique à rajouter à une série qui étonne encore et toujours par sa diversité et sa qualité ! On aime ou on déteste, mais ça ne laisse certainement pas indifférent !
9/10 Des dessins encore plus hallucinants, un scénario encore plus barré, Métamuta ne renie en rien son héritage, et y rajoute une petite touche de folie. Le tout est très inspiré, complètement barré, et tout autant accrocheur que les autres productions de Run.
Etienne