Dossier série : Firefly
Continuons quelque peu avec les séries, voulez-vous ?
Pour celles et ceux qui suivent ce blog depuis quelques temps, il est possible que vous ayez remarqué combien moi et Simatural (au moins) pouvons aimer le boulot de Joss Whedon*... Et même si Dollhouse constitue, à mon humble avis, un beau ratage en cela que c'est le premier de ses boulots dont je décroche, «our master now» Joss est connu surtout pour sa série (exceptionnelle, si, si) Buffy the Vampire Slayer, ainsi que ses nombreux scénarios de comics (notamment X-men dont certains sont devenus cultes, l'Arme 12 par exemple). Mais l'idée n'est pas là de vous parler de Buffy, même si les vampires ont la côte et que cette série a été une parfaite étape de mon chemin vers l'âge adulte, Whedon nous a offert une série de Space-Opera western vraiment formidable, malheureusement abandonnée au beau milieu de sa première saison … J'ai nommé FIREFLY !
Jamais entendu parler? C'est possible, et finalement vous êtes chanceux car vous ne connaissez pas encore l'équipage du Serenity et son capitaine Malcolm Reynolds (interprété par Nathan Fillion au mieux de sa forme**). Cependant soyez prévenus, il n'existe que peu d'épisodes de cette série – je pourrais maintenant lancer des injures envers la Fox – et la frustration sera grande une fois les quelques épisodes engloutis.
Le pitch ?
Allez je laisse Wikipedia parler, ça m'évitera de vous embrouiller :
L'action de Firefly se déroule en 2517. À la suite de l'épuisement de ses ressources, l'humanité a abandonné sa planète natale, la Terre, pour coloniser un nouveau système solaire. Par terraformation, des dizaines de planètes et des centaines de lunes ont ainsi été conditionnées pour accueillir des colonies. Les planètes centrales se sont regroupées, formant l'Alliance, dont les capitales sont Sihnon et Londinum. Les planètes extérieures sont elles restées indépendantes, du moins jusqu'à ce que l'Alliance décide que les règles de la civilisation devaient s'appliquer à tous. Une guerre dévastatrice s'ensuit, qui durera six longues années. Finalement, lors du siège de Serenity Valley, les forces de l'Alliance, supérieures en nombre et bien mieux entraînées, remportent une victoire décisive sur les Indépendantistes. Parmi eux, le sergent Malcolm Reynolds. Miné par la défaite, ce dernier décide de vivre en marge de la société, vers les mondes extérieurs, là où l'Alliance n'a encore que peu, voire pas, d'influence. Il achète un vieux vaisseau, de classe Firefly, qu'il baptise Serenity. Avec l'aide de Zoe Alleyne, son second, qui durant la guerre a combattu à ses côtés jusqu'à la fin, il engage un équipage et se met à vivre de petits boulots, plus ou moins légaux. Contrebande, transport de fret ou bien charter, pour Reynolds le plus important est de continuer à voler, à rester libre. C'est désormais tout ce qui compte.
5 bonnes raisons de regarder Firefly :
- Pour l'ambiance générale de la série, entre western et space-op, le tout dopé à l'humour au top de Joss Whedon et son équipe de scénaristes
- Pour les acteurs, tous excellents dans leurs rôles respectifs, avec mention spéciale à Nathan Fillon en Cap'tain Reynolds cabotin (comme il sait si bien le jouer dans un autre registre pour la série Castle), Adam Baldwin campant un mercenaire pas si décérébré, et Summer Glau, dont la grâce et le regard suffisent à camper une River complêtement mystérieuse...
- Pour les épisodes qui alternent entre moments de rire francs (je pense aux scènes de tavernes, aux réparties) d'émotion et d'angoisse (out of gas) et une histoire de l'équipage qui se dévoile, comme il le faut, peu à peu. (le hic étant que vous n'aurez jamais le fin mot de l'histoire).
- Pour les ideaux de l'équipage du Serenity et avant tout la liberté de chacun d'être, dans le respect des autres. Ca sonne un peu désuet et gentil, mais c'est toujours aussi agréable à regarder, une série où toutes les différences sont aussi exploitées comme des atouts propres aux personnages ; et ce dans une complexité étayée. (forcément, là, je pense à une influence de la série reine du space-op, Star Trek)
- Parcequ'après tout, il n'y a qu'une douzaine d'épisodes, et qu'il ne vous en faudra pas tant pour devenir accroc et, donc, frustrés de n'avoir de vraie fin ( et c'est à ce moment qu'il faudra vous procurer le film "clotûrant" l'aventure).
* N'hésitez pas à visiter sa page web Whedonesque.com qui regorge d'infos en tous sens et mise à jour plus que régulièrement.
** Acteur principal parfaitement drôle et fantastique dans Castle ou Dr Horrible's Sing Along Blog ?
Meor
Pour celles et ceux qui suivent ce blog depuis quelques temps, il est possible que vous ayez remarqué combien moi et Simatural (au moins) pouvons aimer le boulot de Joss Whedon*... Et même si Dollhouse constitue, à mon humble avis, un beau ratage en cela que c'est le premier de ses boulots dont je décroche, «our master now» Joss est connu surtout pour sa série (exceptionnelle, si, si) Buffy the Vampire Slayer, ainsi que ses nombreux scénarios de comics (notamment X-men dont certains sont devenus cultes, l'Arme 12 par exemple). Mais l'idée n'est pas là de vous parler de Buffy, même si les vampires ont la côte et que cette série a été une parfaite étape de mon chemin vers l'âge adulte, Whedon nous a offert une série de Space-Opera western vraiment formidable, malheureusement abandonnée au beau milieu de sa première saison … J'ai nommé FIREFLY !
Jamais entendu parler? C'est possible, et finalement vous êtes chanceux car vous ne connaissez pas encore l'équipage du Serenity et son capitaine Malcolm Reynolds (interprété par Nathan Fillion au mieux de sa forme**). Cependant soyez prévenus, il n'existe que peu d'épisodes de cette série – je pourrais maintenant lancer des injures envers la Fox – et la frustration sera grande une fois les quelques épisodes engloutis.
Le pitch ?
Allez je laisse Wikipedia parler, ça m'évitera de vous embrouiller :
L'action de Firefly se déroule en 2517. À la suite de l'épuisement de ses ressources, l'humanité a abandonné sa planète natale, la Terre, pour coloniser un nouveau système solaire. Par terraformation, des dizaines de planètes et des centaines de lunes ont ainsi été conditionnées pour accueillir des colonies. Les planètes centrales se sont regroupées, formant l'Alliance, dont les capitales sont Sihnon et Londinum. Les planètes extérieures sont elles restées indépendantes, du moins jusqu'à ce que l'Alliance décide que les règles de la civilisation devaient s'appliquer à tous. Une guerre dévastatrice s'ensuit, qui durera six longues années. Finalement, lors du siège de Serenity Valley, les forces de l'Alliance, supérieures en nombre et bien mieux entraînées, remportent une victoire décisive sur les Indépendantistes. Parmi eux, le sergent Malcolm Reynolds. Miné par la défaite, ce dernier décide de vivre en marge de la société, vers les mondes extérieurs, là où l'Alliance n'a encore que peu, voire pas, d'influence. Il achète un vieux vaisseau, de classe Firefly, qu'il baptise Serenity. Avec l'aide de Zoe Alleyne, son second, qui durant la guerre a combattu à ses côtés jusqu'à la fin, il engage un équipage et se met à vivre de petits boulots, plus ou moins légaux. Contrebande, transport de fret ou bien charter, pour Reynolds le plus important est de continuer à voler, à rester libre. C'est désormais tout ce qui compte.
5 bonnes raisons de regarder Firefly :
- Pour l'ambiance générale de la série, entre western et space-op, le tout dopé à l'humour au top de Joss Whedon et son équipe de scénaristes
- Pour les acteurs, tous excellents dans leurs rôles respectifs, avec mention spéciale à Nathan Fillon en Cap'tain Reynolds cabotin (comme il sait si bien le jouer dans un autre registre pour la série Castle), Adam Baldwin campant un mercenaire pas si décérébré, et Summer Glau, dont la grâce et le regard suffisent à camper une River complêtement mystérieuse...
- Pour les épisodes qui alternent entre moments de rire francs (je pense aux scènes de tavernes, aux réparties) d'émotion et d'angoisse (out of gas) et une histoire de l'équipage qui se dévoile, comme il le faut, peu à peu. (le hic étant que vous n'aurez jamais le fin mot de l'histoire).
- Pour les ideaux de l'équipage du Serenity et avant tout la liberté de chacun d'être, dans le respect des autres. Ca sonne un peu désuet et gentil, mais c'est toujours aussi agréable à regarder, une série où toutes les différences sont aussi exploitées comme des atouts propres aux personnages ; et ce dans une complexité étayée. (forcément, là, je pense à une influence de la série reine du space-op, Star Trek)
- Parcequ'après tout, il n'y a qu'une douzaine d'épisodes, et qu'il ne vous en faudra pas tant pour devenir accroc et, donc, frustrés de n'avoir de vraie fin ( et c'est à ce moment qu'il faudra vous procurer le film "clotûrant" l'aventure).
* N'hésitez pas à visiter sa page web Whedonesque.com qui regorge d'infos en tous sens et mise à jour plus que régulièrement.
** Acteur principal parfaitement drôle et fantastique dans Castle ou Dr Horrible's Sing Along Blog ?
Meor